[The Caldeira] Luxury Lounge

[The Caldeira] Luxury Lounge

"Lorsqu'un individu de base né dans le monde, il est immédiatement et inconsciemment jugé par Dieu comme étant faible ou étant fort. Le caractère qui habite chaque personne fait de cette personne quelqu'un. Ce quelqu'un, insignifiant point parmi 6 milliards d'intrus grandira et saura au fil des années qui il est et ce qu'il est, il comprendra bien assez vite si il fait parti des faibles ou des forts. Comme le disait Nietzsche, les forts sont des personnes qui sur-vivent, les faibles sont des personnes qui survivent face a leur propre faiblesse. Les forts sont habités par des envies tellement forts que leur vie en deviens passionnante, l'envie d'aller plus haut, toujours plus haut jusqu'à se brûler les ailes ou alors de vouloir être entêté a surmonter leurs échecs. Les faibles eux ont une vie monotone, habités par de petites envies, sur de leurs succès, ils vivent de petits bonheurs alors que les forts eux vivent de grands bonheurs comme une supernova dans la galaxie. Beaucoup de ces personnes dans le monde se veulent modeste, peut-être pensent-ils que ça fais bien, que ça les rends intelligents de déblatérer que le monde ne contient pas de forts ni de faibles, simplement d'êtres partiellement égaux en tout point. Pourquoi ce monde a de la merde dans les yeux ? Le monde des forts existent bel et bien, le monde est faible aussi mais personne ne l'admet. Osez comparer Mozart a un clochard de votre ville ! Osez comparer Stendhal a l'adolescente prépubère qui raconte ses premières règles dans son journal intime ! Osez comparer Cristiano Ronaldo a votre boulanger ! Osez me comparer moi au vieux du coin de votre rue qui est réglé comme un automate en sortant son chien tous les soirs a 18h ! Ce monde, personne n'y est égal dedans. Y'a les blancs, les noirs, les asiatiques ou plus communément appelés jaunes, les rouges.. Nous sommes tous différents et aucun être ne ressemble a un autre être.
Ce monde est composé pour le tiers d'êtres faibles, d'être puants, bouseux qui se contentent de vivre aisément dans la loi et dans la morale. Quel gâchis. On vous donne une vie et tous ce que les gens font c'est de faire parti du Troupeau comme disait Nietzsche. Aucun désir, aucune envie, aucun bonheur, que du malheur. Crevez seul tout en croyant que votre vie a été bonne.
Ma vie a moi, elle est géniale, je n'ai aucune limite et rien ne pourras m'arrêter, rien ne pourras nous arrêter ni la loi, ni la morale. C'est notre devise a nous, nous, les Caldeira."

Cristiano Caldeira

caldeira fuck the world

« Ma vie c'est genre comme un fucking best-seller. Sauf que pour l'instant, c'est juste le livre vendu à quelques petits exemplaires rangé sur l'étagère tout en haut de la bibliothèque municipale de Lisbonne. Ouais, pour le moment, je suis juste le gentil petit fils de riche, lisboète, ayant deux frères. Enfin, premièrement, je suis loin d'être un gentil vu que je suis le plus méchant de la famille, et deloin. La cruauté gratuite, ca a toujours été mon truc. On dit que je suis malsain, fondamentalement mauvais, et j'en ai rien à foutre. Tellement mauvais, que j'ai toujours été -où que je passe- le chouchou de ces dames, le grand dragueur, the heartbreaker que toutes les filles veulent voir torse nu, et plus si affinités. Quitte à mettre la rage à mes deux frères, of course. Dans ce bas monde, nous sommes tous diffèrents. Tout le monde ne peut pas naître parfaitement parfait comme moi, malheureusement pour eux. Certains naissent roux ou asiatiques -poor guys- tandis que moi je suis né pur beau gosse, une gueule d'ange, un torse d'Apollon et des pieds magiques. Tu peux rien faire contre ça, la nature a fait de moi un demi-dieu, je l'en remercie pour cela. Enfin, je pense plutôt que c'est Dieu lui même qui a décidé de faire de moi ce que je suis. Most beautiful and most awesome selfish basterd EVER. Faire souffrir les autres pour avoir ce que je veux ? J'en ai complètement rien à faire, franchement. Que ce soit un de mes frères ? Tant pis. Quoi qu'on en dise, dans la vie, il y a les forts et les faibles. Et moi, je suis né fort, j'ai grandi fort, et maintenant, je suis awesome. Personne a mon jeu de jambes, personne a ma classe, personne a ma ganache. Personne ne m'arrive à la cheville. Messi ? Une joke. Les gens meilleurs que moi, sur cette Terre, ils se comptent sur les doigts de la main. L'égo surdimensionné ? It's the Caldeira's touch ! »

"Mon nom est Luis. Luis Caldeira, l'ainé des frères Caldeira. Mes frères Crisitano et Gusto et moi sommes, ce qu'on appel, des forts. Nous écrasons tout le monde sur notre passage de notre talent, de notre charisme. Nous avons étés dotés par Dieu d'un talent : le football. Nous serons de grand joueurs, ça c'est sur.
On dit de moi que je suis le plus calme des trois. Alors imaginez les deux autres ! En même temps, je suis le plus grand. Je les ai protégés à l'école, quand on y allait au début. J'ai veillé sur eux et maintenant je suis fier d'eux. Nous allons réussir dans le foot, nous écraserons la concurrence. Les femmes viennent à nous, nous n'allons pas à elles. C'est une énorme différence entre vous et nous, entre les faibles et les forts.
Nous nous battons pour obtenir satisfaction, nous allons jusqu'au bout. Nous ne sommes pas lache. Et vous êtes jaloux de nous. C'est normal, je le serai aussi à votre place. Mais on ne peut pas être tous au top. et la, on est devant vous.
Notre vie n'a pas été à plaindre. A une seule différence, quand tu demandais à tes parents de l'argent, notre argent, nous nous le procurions nous même. Nous avons une plus grande connaissance de la vie que les autres jeunes de notre age. Ce qui nous rend plus fort. Encore plus fort.
Donc ne t'en fais pas si tu es jaloux, c'est normal, c'est un sentiment humain. Nous, nous ne le connaissons pas,

Nous sommes des Caldeira !"

Ibiza, 10h52.

Le soleil me caressait tendrement la joue de ses rayons chaleureux et des lèvres se posaient sur ces mêmes joues. Je n'ouvrais pas les yeux car je ne le voulais pas, le plaisir et la tendresse que ce réveil m'inspirait, m'incitait a profiter les yeux fermés. Ce petit bonheur fût malgré tout éphémère, les rayons devenaient de plus en plus chauds et je sentais vaguement mes joues rougir. J'ouvrais les yeux et faisait mine de simuler un total réveil alors que non. Je l'étais déjà depuis 35 mn. J'observais mon petit joyau nocturne avec le sourire et les souvenirs commençaient a me revenir. Ce petit joyau c'est Cristinia, j'avais d'abord cru a du foutage de gueule mais il s'avérait que ce n'en était pas un, elle avais 17 ans, mon âge, avais des mensurations assez impressionnantes selon ma mémoire mais je ne me rappelle plus des 2 premiers seulement du dernier et du chiffre 95, mes yeux peuvent témoigner en ce moment même. Ah oui et c'est du C. Elle était en vacances a Ibiza elle aussi, je l'ai rencontré dans un lounge huppé de la ville et je l'avais fait boire, puis boire et encore boire jusqu'a ce qu'elle soit totalement sous mon contrôle. Ne riez pas, c'est un art de faire boire une fille, il faut savoir trouver le juste dosage entre soumission face a l'être fort et le vomi. Moi, j'arrive toujours a trouver le juste milieu.
L'instant câlin qui commençait était fait pour perdurer, le silence était la première chose qu'on remarquerais en rentrant dans cette chambre ou même si une caméra y était installée, elle le remarquerais également. Elle se tortillait sur mon corps avec ses lèvres vagabondant sur mon visage, sur mon torse et moi je profitais de la vue et puis a l'instant ou elle alignait son corps contre le mien et que sa tête arrivais bientôt a être cachée par le fin drap en lin de la chambre d'hôtel, j'ai compris que j'allais remettre ça.

Mon deuxième lever fut beaucoup plus brutal, le téléphone rompait le silence et c'était le room-service. Je décrochais.

- Quoi encore ?
- Mr, souhaitez vous un petit déjeuner pour vous et votre compagne ?
- Non ! Dégagez avec vos appels et laissez moi en paix. Do not disturb ! Understand ? Capiche ?

Et je raccrochais. Puis ce fut son téléphone a elle qui sonna, elle devait partir dans la minute, ses parents la cherchaient. Puis ce fut le mien. Putain de journée. Elle quitta la chambre et me laissa seul, nu comme un ver sous mes draps. Je le soulevais et regardait l'état de mon câble. Il me criait presque stop et quand il me crie stop ou presque stop, faut que je compte large environ entre 5 et 10 fois, comme les doigts de deux mains. D'ailleurs, je me demande si ils ont tous servis. Mon téléphone resonna a nouveau, c'était Mathilda, ma copine, qui venais de m'envoyer un sms en me demandant ou j'étais. L'envie de répondre dans ton cul était trop forte mais c'était trop facile et au final je ne répondit pas car répondre c'est une forme de faiblesse dans ces cas là. Je veux qu'elle comprenne que je suis libre et pas a sa botte, lui répondre ça aurais signifier donner des nouvelles et puis répondre équivalait a donner de l'importance a cette fille qui n'en a pas. Mathilda, faut que je vous la présente, c'est une Portugaise que j'ai rencontrer dans mon bahut, on sors ensemble depuis 2 ans mais je suis sorti uniquement avec elle car c'était la reine de la beauté du bahut et moi le sportif préféré. Enfin demi préféré, je vais être gentil et ne pas enlever totalement la vedette a mon frère jumeau car au final il est comme moi d'un point de vue scientifique bien sur, nous sommes tellement une si grande personne que la vie a décidé de nous séparer en deux. Bref, Mathilda c'est la meilleure physiquement parlant et d'ailleurs si ça dure c'est juste parce que physiquement ca va très bien et que ça évolue a cet âge là, cette fille ce n'est que mon passe temps sexuel, elle ne me sert qu'a ça. Les rares sorties que l'on fait a deux ce n'est en aucun cas pour lui faire plaisir c'est juste pour moi dans mon interêt car j'avais quelque chose a faire. Au final j'en viens a me demander si une copine est nécéssaire dans la vie, on va dire que oui pour passer pour un être normalement constitué mais je ne comprends pas pourquoi on devrais s'attacher a une seule fille et a perdre autant de temps de sa vie, de son année avec alors que la terre regorge de milliards de filles. On a qu'une vie, autant tout explorer et la je parle autant au sens propre qu'au sens figuré.

Quoi qu’on en dise, j’aime avoir mes moments de solitude. Surtout après une énorme soirée comme celle d’hier. Ah ouais, quelle soirée ! Surtout au niveau de mon crâne. Il a mal. Mais surtout ne pas le montrer. Si mon père m’a apprit une chose, c’est bien de ne jamais montrer sa douleur. Jamais ! Qu’elle quelle soit : physique ou morale. Le sang des Caldeira est un sang fort, un sang de puissant. Oui donc je disais que j’aimais avoir mes moments de solitude comme celui la. Une belle plage de la cote portugaise ou je me suis réfugié avec des potes. Enfin eux, ils sont restés à l’appart. Moi je suis sur le sable fin, sur une plage inconnue des touristes. Au menu : un joint et une bière. Ca soigne la gueule de bois.

J’avais pris l’habitude d’avoir aussi souvent que possible un petit carnet sur moi ou je notais des phrases, des citations de personnes célèbres qui me correspondaient, qui me définissaient. Je mis mon joint à ma bouche, l’alluma avec mon vieux briquet et recrachai un premier nuage de fumée. Dieu seul sait au combien cela faisait du bien. Je pris donc mon petit carnet et relu les quelques dernières citations qui, je pense, me caractérisaient, parmi ces dernières, celle la était ma favorite :

« Non seulement je ne suis pas modéré, mais j'essaierai de ne jamais l'être. »

Che Guevara. Je suis comme lui, je vais au bout de chaque chose, à fond. Souvent un peu trop, je frôle l’extrême, comme lui. On dit que j’obtiens toujours satisfaction. C’est parce que je fais tout pour. Je suis un battant, je n’hésite pas à user de la violence pour parvenir a mes fins. Et la, j’ai même du Machiavel :

« Car la force est juste quand elle est nécessaire. »

Il avait raison ce connard de rital. A croire que la force est toujours juste avec moi.

La vue était belle. Et l’effet de la beuh commençait à se faire ressentir. Je repensais à la soirée d’hier, dans cette boite. Avec ces femmes. Avec ces connards de mecs jaloux qui essaient de venir me faire chier. Et dans ces moments, je ne perds jamais. Les pauvres … Certes nous avons du quitter la boite. T’façon, c’était une boite de merde. Nous sommes allés dans un bar, pour se terminer. Des femmes, des femmes, encore des femmes … Toutes belles, je laisse les moches à mes potes. Ah … si mes frères étaient la, ça aurait été sanglant … Mais drôle. Ah les cons !

Je finissais ma canette et mon joint et rentrait à l’appart rejoindre mes potes …

Lisbonne, 19h52

La vie, c'est comme une boîte de chocolat. On ne sait jamais sur quoi on va tomber. Ma phrase fétiche ou bien les quelques mots qui expliquent pourquoi je dois toujours satisfaire ma curiosité. Est ce que je vais plaire à cette fille ? Quelle question idiote. Est ce que je suis le plus beau de la classe ? On continue dans les questions sans intérêt par ici. Est ce que je ferais plus crier cette fille que quand elle sortait avec Luis ? Même pas besoin de poser la question. J'étais le plus parfait des Caldeira ayant vu le monde, avec ses yeux d'un bleu éclatant. Cris' avait beau être mon jumeau, il était néanmoins qu'un moi en moins beau, moins baratineur et moins bon joueur. Sans parler de Luis, qui n'est que la version d'essai du Caldeira twinhood. Mais bon, n'empêche, je les aime bien ces deux moches. Tant qu'aucun ne touchait à ma place sur le terrain, j'avais pas besoin de les détruire. Pour le moment, bien sur. Ce qui est bien quand on est comme moi le plus beau et le plus populaire ; c'est que premièrement, comme par hasard, t'as toujours des mecs autour de toi parce qu'ils pensent que de tourner avec le Gusto va leur ramener des filles. Deuxièmement, t'es pas obligé de te coltiner des badass pour aller en boîte, tu peux y aller tout seul tranquillement. Parce que t'as pas besoin d'être accompagné pour pas être solo, tu sais déja que tu rentreras pas en solo. Un art de vivre, the Augusto way of life. Je fais toujours mon petit effet quand je rentre en boîte, c'est clair que les demoiselles sont toutes émoustillées par la vue du beau grand brun ténébreux -description faite par une ex petite amie, une fille complètement barjot, qui a essayé de ma planter un couteau dans le ventre quand je l'ai largué- et c'est clair qu'elle était par indifférentes, toutes ces bitchs. M'asseyant au bar, j'eus le plaisir de les voir arriver une par une. Augusto Caldeira où comment appâter quelques demoiselles en moins de dix secondes. On a la classe ou on l'a pas. Finir la soirée, et passer la nuit avec plusieurs demoiselles ? Déja fait, donc bon, ca ne pouvait en aucun cas me gêner...

-Salut les filles !

Je rentrais dans l’appart et mes branleurs de potes étaient avachis dans des canapés. Il y avait des assiettes sales partout, des fringues par terre, des cendriers renversés … Un joli bordel et une sale odeur. C’était presque abusé en niveau de dégueulassitude !

-Les gars, si les meufs passent à l’appart’, je vous préviens, vous bougez après avoir rangé. Sérieux, vous faites les loques la, c’est le bordel… Comment vous avez fait pour faire ça en aussi peu de temps sérieux ?

Si les nanas passaient, je ne voulais pas qu’elles me voient en compagnie de moches. Et puis la, ça allait être des femmes, des vraies, des belles. Pas les petites minettes de notre âge. Celle la, elles me soulaient, pas de conversations, pas de formes, plus impressionnées d’être en ma présence qu’autre chose. Et puis moi, c’était juste pour me vider un coup… Enfin bref.

-Eh euuuuuuh Luis euuh …, commença un pote à moi complètement défoncé. Ton portable a sonner au faite … C’était euuuuh … ton frère…

-Eh sérieux arrête de fumer toi, t’as mis une demi heure pour dire 4 mots … Et c’était qui ?

-Ton frère quoi … euuuh … j’sais plus lequel … Cristiano j’crois …

Oh … Pourquoi il m’avait appelé celui la ? Enfin, qu’avait-il encore fait ? Si c’est pour que je lui évite de se faire arrêter, c’est pas la peine, j’en ai marre. Il avait prit l’habitude de me fourrer dans ces plans foireux. Terminé, il se démerde maintenant.

Je pris tout de même mon portable et essayai de l’appeler.

Aucune réponse. Branleur.

Dans la seconde qui suivit, c’était ma mère qui m’appelait. Putain, j’avais vraiment pas envie de lui parler. Mais je répondis quand même.

-Yes M’man ?

-Mon fils ! Tu a eu ton petit frère au téléphone ?

-Lequel maman, oublie pas que y’en a deux qui se ressemblent… Les pauvres d’ailleurs, pourquoi t’en as fais deux pareil ?!

-Ne dis pas de betises ! Ils sont tes frères, tu dois veiller sur eux !

-J’en ai marre de faire ça maman. Surveiller … qu’ils assument leurs actes. Bref, pourquoi tu m’appelles ?

Je sortis quand même de l’appart, allais sur le balcon et alluma une clope tout en parlant à ma mère. Ma mère est une bonne femme, j’ai un grand respect pour elle. A nous trois, on lui a pas vraiment facilité sa tache de la vie : nous éduquer.

Elle me dit qu’il fallait absolument qu’on rentre à Lisbonne, réunion de famille très importante. Putain comme j’ai horreur de ça. Mais elle me dit aussi que ça nous concerne tous les trois. Et putain pourquoi j’suis toujours associé à ces deux la ?! Mais comme elle me le rappel assez souvent :

- C’est toi le grand frère, tu dois montrer l’exemple ! Allez, à demain !

‘fais chier …

» Caldeira's Family : The awesome portuguese family.